Car il s'agit bien d'une tentative d'exposition rationnelle des arguments "contre", et de leur réfutation point à point. Il n'y a que comme cela que les choses pourront avancer vers une meilleure compréhension.
Je garde toutefois certaines réserves sur la présentation des objections comme des réponses, qui me semblent rester un peu trop générales. Une approche quantitative des taux de mutation supposés, rapportés aux espèces concernées dans la durée aurait été nettement plus convaincante, voire décisive. Est-elle possible ? cela reste la question. La science n'a jamais eu peur de définir des métriques dans des espaces complexes.
Philippilus
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