Il est probable qu il y ait eu des abus.

Surtout quand l'église à d'autres priorités que les mœurs. Par exemple Pie XII avait pour priorité après 1945 d empêcher Staline de prendre le contrôle de l'Europe catholique. Cela aura pu l'amener à s'aveugler sur les qualités de certains de ses appuis dans ce combat.

Si le cardinal Spellmann avait été aussi horrible qu'on le raconte 50 ans après sa mort, il faut tout de même imaginer que le KGB en aurait entendu parler et en aurait profite tant l'anticommunisme du cardinal était notoire et actif !

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