en tout cas, il n'y a pas de suicide. Dans le dernier épisode, il meurt de sa maladie en ne prenant plus son médicament et en demandant pardon à Dieu puisqu'on comprend qu'il a tué le tueur qu'il avait démasqué mais ne pouvait pas faire arrêter puisque ce dernier incitait au meurtre de façon diabolique sans tuer lui-même.
Quant au catholicisme de Poirot, il est patent dans de très nombreux détails parsemés dans les romans.
C'est, je crois, méconnaître le personnage que de ne pas l'avoir vu.
J'ajoute que Dame Agatha ne cherche pas à mettre le CIC de 1917 en roman : elle met en scène un personnage qui se trouve être un catholique fervent dans ce qu'elle décrit. Dans le cas du second roman, il intervient comme M. bons-offices entre une lady qui se dit maltraitée et qui, en fait, se joue de lui, et l'époux alors que la procédure est déjà engagée. Certes il n'a pas adjuré l'encore épouse d'abandonner son projet, cela je vous l'accorde. Ferveur, piété et sainteté sont, je crois, d'ordres distincts. La rigueur morale, reliée à sa foi, définit le personnage. Ce n'est pas le cas de tous les détectives de roman et de tous les policiers au réel.
L'écrivain n'était pas étrangère à la culture catholique sans que ce soit la sienne, tel était mon propos.
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