C’est la conclusion des travaux sur le Saint Suaire menés à bien par l’historienne Barbara Frale¹, qu’Yves Daoudal a résumés ici.

Dès 1978, on avait découvert des traces d’inscriptions sur le Saint Suaire, mais c’est seulement en 2009 que B. Frale, à l’aide des plus récents outils d’imagerie informatique, a pu déchiffrer suffisamment ces inscriptions pour arriver à y lire, en grec, l’équivalent d’un certificat de décès du Christ.

V.

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¹ La sindone di Gesu Nazareno, éditions Il Mulino, Bologne, 2009. Traduit en français par Viviane Dutaut : Le suaire de Jésus de Nazareth (Bayard, 2011).

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