Dans son livre sur La vie cachée de Catherine Labouré (éd. Perrin), Anne Bernet nous le décrit, quoiqu’au départ très hostile aux révélations de sa pénitente, “respectant farouchement le secret de la confession qu’il ne violera jamais, préservant, en dépit de toutes les pressions, l’anonymat de Catherine.” (p. 120)
À méditer tout spécialement à l’heure où, sous prétexte de donner la chasse aux pédophiles, on assiste à tant de pressions visant à briser le secret de la confession...
V.
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