... j'attends d'en avoir le texte sous les yeux pour en juger.
Il n'a été finalisé qu'après que le Souverain Pontife ait retoqué l'enseignement de Benoît XVI sur les traductions. Cet enseignement était que les traductions ne sont pas le lieu de l'adaptation, et cela découle de la nature de la liturgie, qui est d'être reçue, et non fabriquée.
On parle donc à présent des adaptations "nécessaires", sans préciser en quoi une adaptation peut être nécessaire : c'est la porte ouverte à l'arbitraire.
Le quotidien de référence de la CEF annonçait il y a quelques mois que l'orate fratres serait traduit "priez mes frères pour que ce sacrifice..." au lieu de "...pour que mon sacrifice..." : il y a une volonté de ne pas affirmer clairement le rapport privilégié du prêtre au Sacrifice du Christ, et ce n'est pas ainsi qu'on renouvellera le sacerdoce et qu'on stimulera les vocations.
Donc si, comme pour le Notre Père, on assiste à un certain mieux, je crains que quelques tendances lourdes continuent à se manifester.
Votre dévoué Paterculus
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