Mais dans quel monde vivent ces évêques ? Ils ne se renseignent pas depuis le temps ? Incompréhensible..

Le dernier rapport en date (très récent) réalisé par le P. Paul Sullins, professeur de sociologie de l’Université catholique d’Amérique (CUA) à la demande du Ruth Institute met le doigt sur le rôle joué par l’homosexualité dans la crise actuelle des abus sexuels dans l’Eglise.

C'est un nouveau rapport parce que la chose avait déjà été confirmé par Janet Smith, professeur de théologie morale au séminaire de Détroit qui se fonde sur le rapport établi par la faculté John Jay de justice criminelle révélant que seul « un petit pourcentage de prêtres accusés d’abus étaient atteints d’une pathologie pédophile » et que « aucune analyse crédible n’est possible si l’on ne tient pas compte de l’homosexualité ».

L’un des principaux constats de ces études est que la proportion de prêtres homosexuels par rapport à celle des homosexuels dans la population en général représente le double dans les années 1950, et huit fois plus dans les années 1980.

François veut corréler les abus au « cléricalisme », comme si cette crise résultait en quelque sorte d’un abus de position d’autorité de la part de prêtres, d’évêques, voire de cardinaux. Ben voyons…

Le Père Sullins, catholique, indique que:

« la présence de davantage d’hommes homosexuels parmi le clergé est très clairement corrélée avec une augmentation des abus sexuels sur les garçons » Or dans le cas de l’Eglise, la « très grande majorité des victimes étaient des garçons [alors que] la plupart du temps, en matière d’abus sexuels sur mineurs, les deux tiers des victimes sont des filles ».

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