Ainsi, sur une des prescriptions de la première Alliance, il y a le sacrifice agréable (= qui agrée, qui est gré) à Dieu, qui le dit et remercie.


Les animaux en lieu du fils, comme Dieu le demande à Abraham, et comme Il lui amène un bélier, qu'il coince dans un buisson pour mieux le servir.


Il y a aussi le duel sacrificiel avec les prêtres de Baal, où Dieu met le feu au sacrifice préparé, et non des moindres, et en plus trempé d'eau par les soins du prophète.


Jésus prépare la victime, qui est lui-même.
Il saigne déjà au jardin des Oliviers.
Dur rappel de la loi donnée à ceux qui sont "durs de cœur, et raides de nuque" comme s'en plaint Dieu à son peuple hébreu.

Là est le dernier sacrifice de ce genre.
Jésus dit "Tout est complet" sur la croix, expliquant ce qu'IL avait dit avant : je ne suis pas venu abolir, mais accomplir.


ALors sub-stitution ? = Placer dessous.
Sub-stitution n'est pas abolition.

Quand vous installez un escalier, vous n'enlevez pas la première marche au fur et à mesure que vous placez les suivantes !

On a la deuxième alliance, comme modificatrice dans le sens de complétude, et non comme contraire qui détruit le première alliance conclue.


Le parallèle actuel : insister sur le fait que la miséricorde dépasse la justice. Mais elle suppose la justice, sinon, ce n'est plus de la Miséricorde.



J'espère vous avoir donné du grain à moudre.
Même sans référence théologique que je ne retiens pas par cœur.

Avec mes bonnes salutations
Glycéra


PS
Vous aurez eu dans Wikitruc un exemple de (il-)logique à la Descartes qui veut couper le monde et non faire respirer ses aspects, se complétant l'un l'autre, comme l'inspir compète l'expir, le jour la nuit, etc.
La raison seule, la logique ras de terre, ne peut comprendre ce que Dieu fait, et ce qu'Il spire dans son Amour. De tout temps. Pédagogiquement.

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