- quoi que pouvant légitimement choquer sur le ton qu'il adopte - décrit assez bien comment les choses pouvaient se passer dans l'Eglise "d'antan" : Lien.
Grosso modo, autrefois, quand vous étiez victime d'un tel agissement, vous preniez sur vous et vous la fermiez, vous refouliez. Eventuellement, la hiérarchie ecclésiastique sanctionnait "en interne", mais cela ne sortait pas.
Vous évoquez l'anticléricalisme d'il y a cent ans mais justement, on peut parfois penser que certains "bouffeurs de curés", parfois anciens (petits ou grands) séminaristes ou autres élèves d'établissements religieux, ont été marqués par cela. Car lorsqu'on refoule quelque-chose, on peut parfois transposer son ressentiment et lui trouver d'autres motifs. Encore une fois, la question est complexe.
Aujourd'hui, la parole s'est en partie libérée et de plus en plus de gens mettent des mots sur ce qu'ils ont pu vivre. Certains diront que la modernité nous a rendus plus fragile (mot très à la mode en ce moment chez les cyber-réacs), on peut aussi voir cela comme un progrès.
Je pense sincèrement que nous, catholiques, avons aujourd'hui besoin que vérité soit faite sur ces questions.
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