Cette condition n'est pas nécessaire pour recevoir une indulgence plénière, mais seulement pour que celle-ci produise son plein effet.
Il n'était donc pas nécessaire que Paul VI le rappelle dans son actualisation des conditions de réception d'une indulgence plénière.
L'attache au péché délibéré étant justement l'une des choses qu'il nous faudra expier au purgatoire, son maintien est un obstacle évident à l'abrogation totale de la peine normalement obtenue par l'indulgence plénière.
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