Les moines sont imbibés de Dieu, ils entrent au couvent pour y réussir, et n'ont de persévérance que dans cet espérance-là.
Un autre article du même auteur rappelle que ce n'est pas le thérapeute qui guérit : car nulle action intérieure n'est possible par autrui : chacun est maître de son âme, et seul patron de ses choix.
La guérison n'est pas une absence de maladie, ni le retour à des chiffres d'analyse dans ce qui est admis comme une normalité biologique.
Le maintien en fonctionnement de la machine corporelle n'est pas une guérison. Pas plus que le suivi des préceptes de rubriques n'est certificat de sainteté de l'officiant.
Toute âme qui désire Dieu, qui l'a cherché toute sa vie est dans la même imprégnation que les moines. Eux ont choisi un mode de vie qui facilité et soutient chacun, dans le "siècle", c'est plus variable, moins perenne, mais pas impossible.
Une mort pensée, anticipée, préparée n'est plus une mort imprévue.
Eduquer nos enfants à cela : leur enseigner que le voyage terrestre a pour objectif de trouver l'entrée de la vraie Vie : mettre son âme au monde, celui du Ciel.
Merci pour ces deux extraits de livre.
Avec mes bonnes salutations
Glycéra
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