1) sous ce terme d'étranger, une personne que l'on ne connaît pas, et qui peut être d'un village assez peu éloigné ou qui voyage seule, hors caravanes ;
2) une personne en danger de mort ou en grande difficulté ;
3) et une personne qui, en outre, repart ensuite chez elle.
4) Il s'agit, dans l'esprit des Evangiles, d'expliquer aux fidèles qu'on ne doit pas, pour plaire à Dieu, s'en tenir à une entraide villageoise ou familiale, mais qu'on doit aussi aider celui que l'on ne connaît pas et qui ne pourra pas nous le rendre.
En un mot, les Evangiles, le Seigneur, nous demandent donc de ne pas nous en tenir à une entraide de type naturel, mais d'intervenir également par pure charité, de nous élever, comme Dieu Lui-même, à un amour surnaturel.
On peut mettre ce passage de l'Evangile en relation avec d'autres, avec notamment la parabole du Bon Samaritain ou les paroles du Seigneur selon lesquelles on ne doit pas se contenter d'aimer ceux qui nous aiment, mais selon lesquelles on doit aussi aimer nos ennemis, c'est-à-dire s'élever à une autre forme d'amour, une forme qui n'est plus seulement naturelle, mais qui est l'amour pour Dieu.
Mais se servir des Evangiles pour justifier les déplacements et l'accueil de populations entières, c'est-à-dire une immigration-invasion, souvent musulmane, est un blasphème et une imposture !
L'amour surnaturel se greffe sur l'amour naturel comme le surnaturel sur le naturel. En aucun cas on ne peut greffer le surnaturel sur la destruction du naturel, comme ici les nations et les patries naturelles !
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