Ce que je vois aussi dans cette vidéo :

- ce sont des clercs contents d'eux-mêmes dans leurs aubes de Taizé et qui se meuvent tous de la même façon, d'une façon qui m'est étrangère. Le modernisme touche même la gestuelle des clercs. On comprend que ce qui est important pour eux, c'est essentiellement d'être réunis et non ou moins le culte rendu à Dieu ;

- c'est un archevêque qui :

. a compris qu'il fallait paraître "habité" et se "recueille" avant de prêcher ;

. commence son sermon sans se signer et dire : "Au nom du Père et du Fils et du St Esprit", ce qui peut paraître anodin, mais ce qui ne l'est pas du tout ;

. prêche dans une forme d'autorité, avec une voix qui impressionne, mais pour dire des banalités ou qui se prend même les pieds dans le tapis en expliquant que plus on est grand, moins on a besoin de décorum, puis se souvenant du "décorum" de Notre-Dame et ne sachant plus très bien s'en sortir.

En fait, il y a un décalage entre l'architecture et le cadre général de ces cérémonies et ces clercs, leurs sensibilités et les nouveaux rites.

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