le Pape, passe, lui-même ne s’embarrasse pas de formes

Cardinal Sarah, dont nous admirons tous la pensée et les livres je crois, qui quelques jours après assistait comme de juste à la réunion des chefs de dicastères autour du Pape, sans probablement moufter sur les sujets qui fâchent, parce qu'il est bien éduqué, respectueux de la personne du Saint-Père et que ce n'est théoriquement ni le moment ni le lieu.


Sur des sujets si graves, l'Eglise a-t-elle besoin d'entretiens dans des journaux, le Pape donnant le mauvais exemple qu'on lui reproche à bon droit mais que vous prenez pourtant, ou que ses Princes défendent la foi de façon un peu plus incisive, l'un n'excluant pas l'autre d'ailleurs : dubia et entretiens explicatifs ont efficacement marché de pair.


Mais vous me demanderez certainement, prenant à nouveau exemple sur le Pape, qui suis-je pour juger, n'est-ce pas ...


Et puis, de la dernière chance avant quoi, sérieusement ? Vous voyez un quarteron de cardinaux (la majorité approuve ou se tait) déposer le Pape et/ou faire conclave ? A quoi pensez-vous lorsque vous parlez de dernière chance, si je vous ai mal compris ?

     

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