On faisait remarquer au grand pianiste Yves Nat que les premiers disques microsillons donnaient enfin aux mélomanes l'occasion d'entendre une musique parfaite parce qu'entièrement corrigée, rectifiée, reprise etc...
Il eut ce mot magnifique, qui parait adapté à la problématique de cette discussion : "Plutôt la faute vivante que la perfection morte"...
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