Je pense tout simplement que l'on perd son temps à donner des "notes" avec preuves à l'appui sur des revues en ligne qui ont le seul mérite d'être une alternative à la presse dite "papier", stipendiée (par des subventions publiques, dois-je préciser).

Il me semble avoir écrit que je m'en tiens au principe constitutionnel suivant lequel "la liberté c'est ce qui ne nuit pas à autrui" et pas davantage.

On peut s'en contenter, même si vous considérez que je donne une leçon, parce que tout simplement, des divisions dans l'Eglise catholique, il y en a beaucoup : les discussions dans ce forum le montrent à l'évidence. Et que ce n'est peut-être pas la peine d'en rajouter, si l'on veut bien établir un ordre des priorités en termes de doctrine (y compris la doctrine sociale, souvent oubliée).

Bien sûr, ces revues en ligne ont des défauts, mais à, ce compte là, pourquoi "Charles" ne cible pas les agressivités de "Présent", "Rivarol" (non subventionnés), une revue dont le synonyme est la réaction catholique (les modérateurs "bloquent" le titre exact, pour des raisons qui leur sont propres et que je ne discute pas), "Boulevard Voltaire", etc. dont, en tant que lecteurs, on peut se plaindre en écrivant à leurs rédactions respectives sans prendre à témoin les lecteurs du "Forum".
Et cela, est-ce sentencieux de l'écrire ? Et vous, vous ne pensez pas sincèrement qu'il y a des sujets plus importants que de débattre sur les maladresses de revues en ligne ? Ne sont-elles pas déjà connues des lecteurs qui sont assez grands garçons et grandes filles pour prendre de la distance ?

Et vous, que pensez-vous du délit d'opinion qui vient d'être organisé par la loi concernant l'avortement ? Avez-vous un point de vue intéressant à nous dire et qui nous intéresse tous, fidèles, peut-être plus que d'autres sujets plus spécifiquement ecclésiastiques auxquels le clergé est plus compétent que nous pour répondre ?


Je vous interroge le plus simplement du monde, et c'est tout. Et bien sûr, je pose la question et vous êtes libre d'y répondre. Sauf qu'il y a des éléments de contexte que l'on ne saurait oublier.


Maintenant, si ce que j'écris vous paraît appeler l'attention du modérateur, dites-le lui et faites donc "le petit rapporteur" (mieux que l'émission TV : petit "smyleys"...).

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