L'agitation dont il a fait preuve et qui lui a valu les louanges presque générales et en tout cas celles de son archevêque, étaient en réalité la preuve d'un malaise.

Le problème, c'est l'identité du prêtre. Le prêtre Vatican II ne sait plus ce qu'il est. La hiérarchie est donc évidemment aussi très responsable.

Est-il un prêtre-sacrificateur et un confesseur ou est-il un pasteur protestant, voire un simple animateur spirituel et social, une sorte de "gentil organisateur" (g.o.) d'une ONG humanitaire ?

Lui, dans sa tête, était un animateur spirituel et social qui devait rester, sans raison, célibataire. Il ne pouvait donc tenir très longtemps.

C'est aussi simple que cela !

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