du moins officiellement,
le nombre de maitresses, de bâtards, d'enfants et de filles perdues, sans compter les maisons closes et leurs pensionnaires, illustre la face cachée de cette non contestation, et ce notamment chez les plus riches, les mieux instruits et les mieux équipés en aumôniers et chapelains.
Heureusement que les plus riches ou les plus pieux pouvaient se racheter en dotant monastères et couvents qui abritaient les fruits de ces amours défendus, qui pouvaient alors prier à loisir pour le repos de l'âme de leurs tristes géniteurs !
Permettez moi, en tant qu'arrière petit fils d'enfant trouvé, de ne pas vraiment regretter cet âge d'or.
Cordialement
Stéphane
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