Ou plus précisément, à l'adultère évident est joint un certain nombre de circonstances aggravantes qu'on ne peut occulter :
Cet adultère s'inscrit dans la durée (souvenons-nous de l'adage "errare humanum est...") !
De plus on s'engage par un acte public et solennel à maintenir dans la durée cette liaison adultère !
Enfin à cet engagement abominable, on ose donner abusivement le nom de "mariage" ce qui est un outrage permanent au véritable mariage.
C'est pourquoi tout prêtre a le devoir de refuser l’absolution aux divorcés-remariés, car tant q'ils n'ont pas révoqué cet engagement, on peut légitimement douter de leur contrition comme de leur ferme propos de ne plus recommencer.
Alors qu'un simple adultère repenti peut à tout moment se confesser et obtenir l'absolution pour ensuite pouvoir communier sans commettre de sacrilège.
En rappelant cette évidence, je ne prétends pas nier l'exception : la possibilité pour des divorcés remariés convertis d'être dispensés de l’obligation de se séparer lorsque l'éducation d'enfants en bas âge l'exige et qu'ils s'engagent à vivre désormais dans la continence.
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