Y a-t-il un précédent dans l'histoire de l'Église où un martyr aurait prononcé de telles paroles face à un agresseur et aurait cherché à le repousser avec ses pieds ?
Il me semble que ce n'est pas l'agneau qu'on conduit à la boucherie, ni le "Père, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font", ni le "Seigneur ne leur impute pas ce péché!» (Actes 7:60 ; Luc 23:34) ni les chants et louanges des martyrs racontés à foison dans l'hagiographie chrétienne.
Le Père Hamel a-t-il vraiment démontré qu'il choisissait le martyre plutôt que l'apostasie, qu'au moins il l'acceptait en témoin de la foi ou, au contraire, qu'il subissait seulement cet assaut meurtrier en voulant le repousser ?
Martyr ou victime ?
Désolée, mais je penche encore plus pour le deuxième cas, au su de sa dernière parole.
Union de prières,
Balbula

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