Incompréhensible en cette période de crise des vocations que la solidarité entre évêques passe avant l'intérêt des fidèles et des séminaristes. D'autant qu'aucune solution ne semble prévue pour permettre la réimplantation de la fraternité en France. A minima devant "l'afflux" de candidats français il aurait été sage de trouver un accord avec un évêque français ouvert à l'initiative de la Fraternité pour permettre un transfert en douceur.
D'autant plus aberrant que Mgr De Kesel a lui pu se former à Rome. Quelle aurait été sa réaction si on lui avait dit 'trouvez-vous un séminaire en Belgique' ?

Il effectue ses études secondaires au Collège Saint-Vincent d’Eeklo avant d'entrer au séminaire, en septembre 1965. Candidat en Philosophie et Lettres de l’Université Catholique de Louvain, il poursuit, entre 1968 et 1972 sa formation à l’université pontificale grégorienne de Rome dont il est licencié en théologie.Joseph De Kesel est ordonné prêtre le 26 août 1972.

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