Votre formule ne me paraît pas adaptée à la situation : ce que la presse cherche comme scandale, ce sont les cas d'actes sordides + l'absence de réaction de l'évêque, qui continue à confier des responsabilités comme si de rien n'était.

Cette conjonction ne devrait jamais exister.

Lorsqu'un prêtre est convaincu d'actes sordides, le scandale est grand. Lorsqu'n plus son évêque sait et ne dit rien, le scandale est majeur et fait la Une des médias - encore La Une du Monde de ce week-end.

Cela rend la parole de l'Eglise quasiment inaudible comme le disait Benoît XVI dans se lettre aux catholiques d'Irlande (2010) :

(...) des conséquences si tragiques pour les vies des victimes et de leurs familles et qui ont assombri la lumière de l'Evangile à un degré que pas même des siècles de persécution ne sont parvenus à atteindre.

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