... je trouve plutôt ça finaud.
Tout le système LGBT tient sur le fait que l'intégralité de la vie (goûts artistiques, choix vestimentaires, amitiés, lectures, et bien sûr choix politique) est motivé, engendré, par la tendance sexuelle.
Sortir la personne se cette obsession monomaniaque est un devoir.
Il en est du même du handicap.
La veille d'un handicap (accident, par exemple), on n'est pas appelé "un non-handicapé". Pourquoi devient-on alors après l'accident "un handicapé" ?
Gardons ces mots-ci comme adjectifs et non comme substantifs.
C'est une question de dignité humaine, comme le dit Mgr Cattenoz.
Non ?
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