est certes le vrai début du Sacrifice [autant que ceux qui arrivent trop tard à la messe ne sont pas obligés d'ouïr une autre messe pour satisfaire au précepte dominical, s'ils arrivent avant l'offertoire ; il faut aussi rester au moins juqu'à la communion du célébrant], mais si la messe est interrompue pendant ou après l'offertoire, il n'y a pas lieu de la continuer, pourvu que le Canon n'ait pas commencé.
Voir De defectibus X,2
Si, Sacerdote celebrante, violetur Ecclesia ante Canonem, dimittatur Missa: si post Canonem, non dimittatur. Si timeatur incursus hostium, vel alluvionis, vel ruina loci ubi celebratur, ante consecrationem dimittatur Missa; post consecrationem vero Sacerdos accelerare poterit sumptionem Sacramenti, omissis omnibus aliis.
Heureusement donc, qu'à cette terrible occasion aucun sacrilège sacramentel ne se soit encore ajouté à celui, déjà gravissime, de violer l'église et de porter la main sur un prêtre.
Les responsables indirects et directs, ecclésiastiques et autres, de ce forfait auront des comptes à rendre, et peut-être certains les ont-ils déjà rendus.
Une intention de prière, une de plus.
Merci de vos précisions. Je ne me rappelais pas les détails de ce cas.
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