Il y a peu, je vous ai raconté l’histoire de cette jeune musulmane (non voilée) qui sous ma ferme recommandation avait refusé l’avortement d’un enfant à naître diagnostiqué comme étant trisomique et né tout-à-fait normal, par la grâce de Dieu et non celle de sa génie-cologue !

Mon propos de ce matin est tout à l’opposé de ce happy end !

C’est le résumé de l’esprit de la médecine belge, devenue hypocrite et assassine.

Il y a quelques semaines, une jeune femme me consulte pour la première fois et me demande si je veux bien l’aider à surmonter un état dépressif profond lié au fait qu’elle a « le sentiment d’avoir tué son enfant » !

Elle m’explique alors qu’étant enceinte de 25 semaines (je n’étais pas encore son médecin traitant), sa génie-cologue la convoque pour lui annoncer que sur l’échographie réalisée l’enfant n’avait pas de rein et présentait une vessie volumineuse.
Stupidité profonde car un fœtus qui n’a pas de rein n’est pas viable!

RV est pris pour réaliser une imagerie médicale par résonance magnétique nucléaire vu la gravité extrême du diagnostic échographique.
L’IRM montre la présence de 2 reins de volumes différents et d’une grosse vessie avec probabilité d’un obstacle urinaire bas.
Le protocole de la génie-cologue fait mention de « néoplasie prostatique » !
La médecine a beau ne pas être une science exacte, chez un fœtus, ici, on nage en plein délire, d'autant qu'à l'autopsie on a pas retrouvé de résidus prostatiques !

Les parents plongent alors en plein désarroi lorsque la génie-cologue leur laisse le choix entre ne rien faire et accoucher d’un enfant qui ne survivra guère à toutes ses malformations, décrites comme catastrophiques, ou pratiquer un foeticide plus simplement appelé IMG, interruption médicale de grossesse, qui n’est rien d’autre qu’un avortement, plus hypocritement appelé IVG !
(Il faut savoir qu’en principe l’avortement est interdit en Belgique après 12 semaines !)

Après une semaine de réflexion sur une proposition hautement tendancieuse, voire même crapuleuse dans sa présentation par la représentante de "l'Art de guérir" d'un tableau de catastrophe concernant l’état de l’enfant à naître, les parents, sans autre conseil et en plein désarroi, ont accepté l’IMG.

Le foeticide, mise à mort d’un enfant de plus de 12 semaines, a été réalisé par la génie-cologue qui a injecté un produit létal à travers le ventre de la mère et dans le cœur de l’enfant.
Le cœur s’est arrêté de battre après quelques instants !
L’accouchement a suivi.

Une photographie de l’enfant assassiné a été remise à la mère en souvenir de cet « heureux » événement !

Le comble est que, le matin avant la mise à mort, une assistante sociale est venue proposer à la mère en désarroi l’incinération de l’enfant aux frais de la clinique, en insistant bien sur le fait que des funérailles normales seraient à ses charges.

La « charitable » assistante sociale savait que la patiente vivait en état de précarité matérielle !

L’incinération faisait disparaître ainsi toute possibilité de faire une autopsie de contrôle dans un cadre médico-légal !

Pour ma part, je suis révolté devant l’attitude de cette médecine mortifère qui a empêché la grossesse de se dérouler normalement selon la volonté de Dieu Tout-Puissant, quitte à se trouver devant 3 possibilités : soit l’enfant décède in utero de mort naturelle, soit il décède après la naissance de mort tout aussi naturelle, soit la seconde partie de la grossesse permet au cours normal de l’évolution du fœtus de se rétablir et l’enfant nait tout-à-fait normal, selon la volonté du Tout-Puissant, exactement comme pour ma patiente dont l’enfant devait naître trisomique !

Dans les 2 premiers cas, il eut été beaucoup plus facile à la maman de faire le deuil de son enfant décédé de mort de mort naturelle qu’avec une photo souvenir de cet enfant assassiné in utéro !

Je n’oserais même pas dire à ma patiente que la générosité de la clinique est une tromperie, car ma conviction profonde est que cet enfant a disparu dans l’incinérateur de la clinique, clinique pour qui la vie ne représente rien : on y euthanasie et on y avorte en dehors de tout contexte légal et sans aucun scrupule.
Par ailleurs, je ne crois absolument pas à un quelconque geste de charité de la part de cette clinique, d'autant plus que la patiente vient de me préciser n'avoir reçu aucune note d'honoraires de cette clinique. Le silence s'achète aussi !

Le dossier médical, avec mes remarques aussi fermes que claires, est prêt à être soumis à l'appréciation du Conseil de l'Ordre des Médecins et la patiente est résolue à déposer plainte pour abus de confiance dans un état où tout a été fait pour lui faire perdre son libre arbitre !

Prions le Ciel de ne jamais être malade en Belgique !

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