Dimanche 22 Septembre 2013
<b>I. BRÉVIAIRE ROMAIN (1568-1960)
DIX-HUITIÈME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE</b>
(QUATRIÈME DE SEPTEMBRE)
<i>Premier Nocturne</i>
<img src="http://nsa28.casimages.com/img/2011/09/23/110923112524760388.jpg">
Judith décapite Holopherne, par Gentileschi (Musée de Capodimonte, Naples)
<b>Commencement du livre de Judith</b>
<i>Leçon i</i>
(ch. I, vv. 1-4) Arphaxad donc, roi des Mèdes, avait subjugué un grand nombre de nations à son empire, et lui-même bâtit une ville très puissante, qu’il appela Ecbatane, en pierres carrées et taillées: il fit ses murs de soixante-dix coudées de largeur et de trente coudées de hauteur, et il mit ses tours à la hauteur de cent coudées. Or chacun de leurs côtés s’étendait en carré dans un espace de vingt pieds; et il mit ses portes à la hauteur des tours. Et il se glorifiait comme puissant par la puissance de son armée, et par la magnificence de ses chars.
<i>Leçon ii</i>
(ch. I, vv. 5-9) Ainsi, en la douzième année de son règne, Nabuchodonosor, roi des Assyriens, qui régnait dans Ninive, la grande ville, combattit contre Arphaxad, et le vainquit dans la grande plaine qui est appelée Ragaü, près de l’Euphrate, du Tigre et de Jadason, dans la plaine d’Erioch, roi des Eliciens. Alors le royaume de Nabuchodonosor fut exalté, et son cœur s’éleva; et il envoya vers tous ceux qui habitaient dans la Cilicie, à Damas, sur le Liban, et vers les nations qui sont dans le Carmel et en Cédar, et vers les habitants de Galilée, dans la grande plaine d’Esdrélon, et vers tous ceux qui étaient en Samarie et au-delà du fleuve du Jourdain jusqu’à Jérusalem, et dans toute la terre de Jessé, jusqu’à ce qu’on arrive aux confins de l’Éthiopie.
<i>Leçon iii</i>
(ch. I, vv. 10-12; ch. II, vv. 1-3) Nabuchodonosor, roi des Assyriens, leur envoya à tous des messagers; et tous protestèrent unanimement, et les renvoyèrent les mains vides, et les chassèrent sans honneur. Alors le roi Nabuchodonosor, indigné contre toute cette terre, jura par son trône et son royaume qu’il se vengerait de toutes ces contrées. A la treizième année du roi Nabuchodonosor, le vingt-deuxième jour du premier mois, dans la maison de Nabuchodonosor, roi des Assyriens, déclaration fut faite qu’il se vengerait. Il appela donc tous les Anciens, et tous les chefs, et ses guerriers, et il tint avec eux son conseil secret; et il dit que sa pensée était uniquement de subjuguer toute la terre à son empire.
<i>Deuxième Nocturne</i>
<b>Du livre de saint Ambroise, évêque, sur Élie et le jeûne</b>
(9, 28-32. Texte latin: <i>PL</i> 14, 707-708)
<i>Leçon iv</i>
On défend à ceux qui exercent le pouvoir de faire usage de vin, de crainte qu’après en avoir bu, ils n’oublient la sagesse. Ils avaient, sans doute, bu jusqu’à l’ivresse, ceux qui désiraient se livrer à Holopherne, chef de l’armée du roi des Assyriens; mais Judith ne buvait pas de vin, elle qui, depuis son veuvage, jeûnait tous les jours, à l’exception des fêtes solennelles. Elle s’avança munie de ces armes, et elle enveloppa dans la ruine toute l’armée des Assyriens; ce fut par la force de sa sobriété qu’elle coupa la tête d’Holopherne, garda sa pureté et remporta la victoire.
<i>Leçon v</i>
Judith, armée du jeûne, pénétrait hardiment au milieu du camp ennemi; Holopherne gisait là, plongé dans l’ivresse, au point de ne pouvoir sentir le coup du glaive. Ainsi le jeûne d’une seule femme a vaincu des troupes innombrables d’Assyriens. Le jeûne aussi a rehaussé la beauté d’Esther, parce que le Seigneur augmentait la grâce dont cette âme sobre était environnée. Elle délivra toute sa race, c’est-à-dire tout le peuple juif, d’une cruelle persécution, et le roi fut soumis à tous ses désirs.
<i>Leçon vi</i>
Ainsi donc, ayant jeûné trois jours de suite, et ne s’étant lavée simplement qu’avec de l’eau, elle n’en plut que davantage au roi, et obtint vengeance de l’injustice; tandis qu’Aman, tout fier d’avoir pris place au banquet de la reine, est puni de son intempérance au milieu même des vins dont il abuse. Le jeûne est donc un sacrifice de réconciliation, un accroissement de force, rendant les femmes elles-mêmes plus puissantes en ajoutant à leurs charmes. Le jeûne dispense d’emprunter, ignore les intérêts onéreux: la table de ceux qui jeûnent ne sent point l’usure. Le jeûne donne même de l’agrément aux banquets; car la bonne chère habituelle est rendue fastidieuse et commune par sa continuité prolongée; et les mets semblent plus savoureux quand on a faim. Le jeûne assaisonne les aliments; plus l’appétit est vif, plus la nourriture est agréable.
<b>Troisième Nocturne</b>
Lecture du saint Évangile selon saint Matthieu
(ch. IX, 1-8.
Version du <i>Lectionnaire</i> de 1964-65)
Leçon vii
En ce temps-là,
Jésus, étant monté dans une barque,
passa sur l’autre rive.
Il vint dans sa ville.
Et voici qu’on lui apporte
un paralytique étendu sur un lit.
Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique:
«Confiance, mon enfant,
tes péchés te sont remis.»
Mais voici que des scribes
se dirent en eux-mêmes:
«Cet homme-là blasphème!»
Voyant leurs pensées, Jésus dit:
«Pourquoi ces pensées méchantes dans vos cœurs?
Quel est le plus facile,
de dire: Tes péchés sont remis,
ou de dire: Lève-toi et marche?
Eh bien! pour que vous sachiez
que le Fils de l’homme a pouvoir sur terre
de remettre les péchés,
lève-toi, dit-il alors au paralytique,
prends ton lit, et retourne dans ta maison.»
L’homme se leva et retourna dans sa maison.
En voyant cela, les foules furent prises de crainte,
et elles glorifièrent Dieu,
qui a donné un tel pouvoir aux hommes.
Homélie de saint Pierre Chrysologue, évêque [de Ravenne, † 450-451]
(Sermon 108, 1.3.
Texte latin: PL 52, 339-340;
Ce sermon serait plutôt de s. Maxime, év. de Turin [† 470])
Ce que nous avons lu aujourd’hui dans l’Évangile nous montre que les actions humaines du Christ renferment des mystères divins, et que dans les choses visibles il accomplissait des œuvres invisibles. «Il monta dans la barque, dit l’Évangéliste, traversa la mer et vint dans sa ville.» N’est-il pas celui qui, refoulant les eaux, mit à nu les abîmes de la mer, pour que le peuple d’Israël traversât à pied, au milieu des ondes étonnées, la gorge étroite formée par les eaux suspendues en montagnes? N’est-ce point lui qui aplanit sous les pieds de Pierre les vagues soulevées, en sorte que l’élément liquide pût fournir un solide appui aux pas d’un homme?
Leçon viii
Et quelle raison a-t-il de ne point user pour lui-même de l’obéissance de la mer, et de recourir au service d’un batelier pour traverser un si petit lac? «Il monta dans la barque, dit l’Évangile, et traversa la mer.» Qu’y-a-t-il d’étonnant en cela, mes frères? Le Christ est venu se charger de nos faiblesses, et nous donner sa force; prendre ce qui est humain, nous accorder ce qui est divin; accepter les ignominies, nous conférer des honneurs; supporter nos maux, nous apporter la guérison: car le médecin qui ne connaît pas l’infirmité ne sait pas la guérir, et celui qui ne se fait pas infirme avec l’infirme ne peut lui rendre la santé.
Leçon ix
Si donc le Christ était resté dans sa puissance, il n’aurait rien eu de commun avec les hommes; et s’il n’avait pas subi les conditions de notre nature infirme, en vain se serait-il revêtu de notre chair. «Il monta dans la barque, dit l’Évangile, traversa la mer, et vint dans sa ville.» Le Créateur de toutes choses, le Maître de l’univers, quand il se fut renfermé pour nous dans les bornes étroites de notre chair, commença d’avoir une patrie terrestre, il devint citoyen d’une ville de Judée, et celui dont tous les pères et mères ont reçu l’existence, eut lui-même des parents. Ce fut afin d’inviter par l’amour, d’attirer par la charité, d’attacher à lui par l’affection, de persuader par la bonté, ceux que l’autorité avait chassés, que la crainte avait dispersés, et que la puissance avait bannis.
<b>II. BRÉVIAIRE ROMAIN (1961-1969)
DIX-HUITIÈME DIMANCHE APRÈS LA PENTECÔTE</b>
(QUATRIÈME DIMANCHE DE SEPTEMBRE)
<i>Au Nocturne</i>
<i>Judith avec la tête d’Holopherne</i> (1651), par le Guerchin (Musée des Beaux-Arts, Brest)
<b>Commencement du livre de Judith</b>
<i>Leçon i</i>
(ch. I, vv. 1-4) Arphaxad donc, roi des Mèdes, avait subjugué un grand nombre de nations à son empire, et lui-même bâtit une ville très puissante, qu’il appela Ecbatane, en pierres carrées et taillées: il fit ses murs de soixante-dix coudées de largeur et de trente coudées de hauteur, et il mit ses tours à la hauteur de cent coudées. Or chacun de leurs côtés s’étendait en carré dans un espace de vingt pieds; et il mit ses portes à la hauteur des tours. Et il se glorifiait comme puissant par la puissance de son armée, et par la magnificence de ses chars.
<i>Leçon ii</i>
(ch. I, vv. 5-12; ch. II, vv. 1-3) Ainsi, en la douzième année de son règne, Nabuchodonosor, roi des Assyriens, qui régnait dans Ninive, la grande ville, combattit contre Arphaxad, et le vainquit dans la grande plaine qui est appelée Ragaü, près de l’Euphrate, du Tigre et de Jadason, dans la plaine d’Érioch, roi des Éliciens. Alors le royaume de Nabuchodonosor fut exalté, et son cœur s’éleva; et il envoya vers tous ceux qui habitaient dans la Cilicie, à Damas, sur le Liban, et vers les nations qui sont dans le Carmel et en Cédar, et vers les habitants de Galilée, dans la grande plaine d’Esdrélon, et vers tous ceux qui étaient en Samarie et au-delà du fleuve du Jourdain jusqu’à Jérusalem, et dans toute la terre de Jessé, jusqu’à ce qu’on arrive aux confins de l’Éthiopie. Nabuchodonosor, roi des Assyriens, leur envoya à tous des messagers; et tous protestèrent unanimement, et les renvoyèrent les mains vides, et les chassèrent sans honneur. Alors le roi Nabuchodonosor, indigné contre toute cette terre, jura par son trône et son royaume qu’il se vengerait de toutes ces contrées. A la treizième année du roi Nabuchodonosor, le vingt-deuxième jour du premier mois, dans la maison de Nabuchodonosor, roi des Assyriens, déclaration fut faite qu’il se vengerait. Il appela donc tous les Anciens, et tous les chefs, et ses guerriers, et il tint avec eux son conseil secret; et il dit que sa pensée était uniquement de subjuguer toute la terre à son empire.
Lecture du saint Évangile selon saint Matthieu
(ch. IX, 1-8.
Version du <i>Lectionnaire</i> de 1964-65)
Leçon iii
En ce temps-là,
Jésus, étant monté dans une barque,
passa sur l’autre rive.
Il vint dans sa ville.
Et voici qu’on lui apporte
un paralytique étendu sur un lit.
Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique:
«Confiance, mon enfant,
tes péchés te sont remis.»
Mais voici que des scribes
se dirent en eux-mêmes:
«Cet homme-là blasphème!»
Voyant leurs pensées, Jésus dit:
«Pourquoi ces pensées méchantes dans vos cœurs?
Quel est le plus facile,
de dire: Tes péchés sont remis,
ou de dire: Lève-toi et marche?
Eh bien! pour que vous sachiez
que le Fils de l’homme a pouvoir sur terre
de remettre les péchés,
lève-toi, dit-il alors au paralytique,
prends ton lit, et retourne dans ta maison.»
L’homme se leva et retourna dans sa maison.
En voyant cela, les foules furent prises de crainte,
et elles glorifièrent Dieu,
qui a donné un tel pouvoir aux hommes.
Guérison du paralytique, par Quentin Varin (église Saint-Louis, Fontainebleau)
Homélie de saint Pierre Chrysologue, évêque [de Ravenne, † 450-451]
(Sermon 108, 1.
Texte latin: PL 52, 339;
Ce sermon serait plutôt de s. Maxime, év. de Turin [† 470])
Ce que nous avons lu aujourd’hui dans l’Évangile nous montre que les actions humaines du Christ renferment des mystères divins, et que dans les choses visibles il accomplissait des œuvres invisibles. «Il monta dans la barque, dit l’Évangéliste, traversa la mer et vint dans sa ville.» N’est-il pas celui qui, refoulant les eaux, mit à nu les abîmes de la mer, pour que le peuple d’Israël traversât à pied, au milieu des ondes étonnées, la gorge étroite formée par les eaux suspendues en montagnes? N’est-ce point lui qui aplanit sous les pieds de Pierre les vagues soulevées, en sorte que l’élément liquide pût fournir un solide appui aux pas d’un homme?
<b>III. COMMENTAIRE DE L’ÉVANGILE DU MISSEL DE 1970-2002</b>
<img src="http://www.artbible.net/3JC/-Mat-18,10_Parable_Lost_sheep_Brebis_perdue/16%20DE%20VOS%20LA%20BREBIS%20PERDUE%20DETAIL%20BNF%20ESTAMPES.jpg">
La brebis perdue (estampe de la BNF)
<b>VINGT-CINQUIÈME DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE</b>
(Cycle des lectures C)
La <i>Liturgia Horarum</i>, c’est-à-dire le nouveau bréviaire romain, ne prévoit pas de commentaire sur l’évangile de chaque dimanche, contrairement à la tradition. Les éditions du <i>Missel Romain</i> antérieures à 1970 lisent le passage d’aujourd’hui (<i>Lc</i> 16, 1-9) le 8° dimanche après la Pentecôte. On a donc reproduit ci-après l’Homélie qu’en donne le Bréviaire romain de 1955.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc
(16, 1-13 [brève : 10-13 ; passage entre crochets].
Version liturgique officielle)
[Jésus disait à ses disciples :]
« Un homme riche avait un gérant
qui lui fut dénoncé parce qu’il gaspillait ses biens.
Il le convoqua et lui dit :
“Qu’est-ce que j’entends dire de toi ?
Rends-moi les comptes de ta gestion,
car désormais tu ne pourras plus gérer mes affaires.”
Le gérant pensa : “Que vais-je faire,
puisque mon maître me retire la gérance ?
Travailler la terre ? Je n’ai pas la force.
Mendier ? J’aurais honte.
Je sais ce que je vais faire,
pour qu’une fois renvoyé de ma gérance,
je trouve des gens pour m’accueillir.”
Il fit alors venir, un par un,
ceux qui avaient des dettes envers son maître.
Il demanda au premier : “Combien dois-tu à mon maître ?
- Cent barils d’huile.”
Le gérant lui dit : “Voici ton reçu ;
vite, assieds-toi et écris cinquante.”
Puis il demanda à un autre :
“Et toi, combien dois-tu ? - Cent sacs de blé.”
Le gérant lui dit : “Voici ton reçu, écris quatre-vingts.”
Ce gérant trompeur, le maître fit son éloge :
effectivement, il s’était montré habile,
car les fils de ce monde
sont plus habiles entre eux
que les fils de la lumière.
Eh bien moi, je vous le dis :
Faites-vous des amis avec l’Argent trompeur,
afin que, le jour où il ne sera plus là,
ces amis vous accueillent dans les demeures éternelles.
[Celui qui est digne de confiance dans une toute petite affaire
est digne de confiance aussi dans une grande.
Celui qui est trompeur dans une petite affaire
est trompeur aussi dans une grande.
Si vous n’avez pas été dignes de confiance avec l’Argent trompeur,
qui vous confiera le bien véritable ?
Et si vous n’avez pas été dignes de confiance
pour des biens étrangers,
le vôtre, qui vous le donnera ?
Aucun domestique ne peut servir deux maîtres :
ou bien il détestera le premier, et aimera le second ;
ou bien il s’attachera au premier, et méprisera le second.
Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’Argent. »]
Homélie de saint Jérôme, prêtre
(Lettre 121, à Algasie, 6.
Texte latin : PL 22, 1019-1020)
L’intendant de richesses malhonnêtes reçoit un éloge de la bouche de son maître pour s’être préparé une sorte de justice avec le fruit même de sa malhonnêteté, et le maître lésé loue la prudence de l’intendant parce qu’en portant préjudice à son maître, il a, dans son intérêt personnel, agi prudemment. Le Christ ne peut subir aucun dommage et toujours incline à la clémence. Combien plus ne louera-t-il pas ses disciples s’ils ont exercé la miséricorde à l’égard de ceux qui croiront en lui?
Après la parabole, le Seigneur ajoute: «Et moi je vous dis: Faites-vous des amis avec le mammon malhonnête!» Ce n’est pas l’hébreu, mais le syriaque qui appelle «mammon» malhonnête les richesses parce qu’elles s’amassent par des procédés malhonnêtes. Si donc un bien mal acquis, mais adroitement distribué, peut se changer en justice, la parole divine qui, elle, n’a rien de malhonnête et qui a été confiée aux Apôtres, n’élèvera-t-elle pas jusqu’au ciel ceux qui l’administrent, pourvu que ce soit à bon escient?
On comprend la suite: Celui qui est fidèle pour très peu de choses, ce qui veut dire pour le plan charnel, sera fidèle aussi pour beaucoup, ce qui veut dire pour le plan spirituel. Mais celui qui est malhonnête pour très peu qui ne met pas au service de ses frères ce que Dieu a créé pour tous, celui-là sera malhonnête aussi dans le partage des richesses spirituelles, car il ne dispensera pas la doctrine selon les besoins, mais selon les personnes. «Or, dit le Seigneur, si vous ne dispensez pas bien les richesses matérielles et caduques, qui donc vous confiera les vraies et éternelles richesses de la doctrine divine?
<b>Collecte</b>
(absente du MR1962)
Deus, qui sacræ legis ómnia constitúta
in tua et próximi dilectióne posuísti,
da nobis, ut, tua præcépta servántes,
ad vitam mereámur perveníre perpétuam.
Per Dóminum....
Traduction non-officielle
O Dieu, qui avez résumé
tous les préceptes de la Loi sacrée
dans l’amour pour vous et le prochain,
accordez-nous, moyennant leur observance,
de parvenir à la vie éternelle.
Par Notre-Seigneur...