- "J'ai résisté comme j'ai pu à l'Appel, mais le Christ a été plus fort que moi".
- "Je n'avais rien d'un curé".
- "J'ai été étonné de l'accueil au Léon XIII, par les séminaristes. Je croyais que j'allais trouver là des garçons un peu froids. mais, non. Ils sont venus chercher ma valise. Nous sentions que nous partagions la même Foi et le même idéal".
- "On devenait prêtre pour la Messe et pour sauver les âmes".
- " On reconnaît une Église vivante au nombre de vocations. Quand les séminaires sont vides, c'est que la Foi est morte".
- "Je ne me consolerai jamais de la perte de la Foi chez nous. On a beau me dire que ça va mieux en Afrique ou en Pologne. Cette question du Christ m'effraye Quand le Fils de l'homme reviendra sur la terre, trouvera t-il encore la Foi. Il l'a trouvera certainement encore, mais pas nécessairement chez nous. Regardez l’Église de St-Augustin, il n'en reste rien".
- "Ce sont les mamans qui transmettent la Foi. Il nous faut des familles chrétiennes".
- " Comment voulez-vous que des adolescents soient attirés par le sacerdoce ? Quand on regarde les photos de groupes de prêtes on dirait des réunion d'anciens combattants".
- "Il n'y a rien à faire, l’accent s'est déplacé de l'autel vers l'assemblée. Je ne me suis pas fait prêtre pour être président de l'Eucharistie. Il y a des hommes mariés qui feraient ça mieux que moi".
- "On ne renonce pas à une famille pour animer des communautés".
- "L'avenir est là où il y a des jeunes prêtres. Le reste c'est du vent".
- " Quand la Messe n'est plus célébrée, la source de grâce est tarie".
- "Pour moi, la plus belle définition d'une paroisse est celle de St-Pie X: "une paroisse, c'est un tabernacle avec des maisons autour".
- "Quand une société ne construit plus ni temples, ni tombeaux, elle est morte."
- "La Messe se décompose en deux stades: le premier, on en fait une fête, le second du folklore. Je ne suis pas un marchand de fêtes".
"On mesure la vitalité d'une paroisse au nombre de confessions. Confessionnal vide ? paroisse morte".
" Il faut regarder les choses autrement que par le nombre. Même s'il n'y a presque personne à un Salut du S.Sacrement, qu'est-ce que ça peut faire ? Ce n'est pas le nombre qui compte, c'est de le faire ou de ne pas le faire qui change tout. On travaille pour le bon Dieu, même si c'est plus encourageant quand il y a du monde, mais on est dans une société où les gens ne sentent plus leur faim spirituelle, comme les cancéreux ne sentent plus qu'ils ont faim. Les offices, ce ne sont pas des bals: on ne compte pas les entrées".
"Je ne peux pas me consoler de la perte de la foi, même quand on me dit regarde ceci ou cela dans le monde, ça marche. C'est comme si un médecin, qui se trouve devant quelqu'un qui a un cancer, disait à la famille "son petit doigt de pied est encore bon".
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