c'est le seul point important car les 2 autres motifs invoqués ne portent que sur les enquêteurs/vie privée etc. sans concerner la véracité des propos que nous avons entendus.

Je m'interroge sur ce qualificatif "publication d'un montage" : sont-ce bien les termes employés par le juge d'instruction ?

Les images auraient été fabriquées mais alors où est l'atteinte à la vie privée ? Je trouve que les deux points se contredisent.

S'il y a fabrication et mise en scène "montage", c'est la diffamation qui est le chef d'accusation : dans ce résumé, le mot diffamation n'apparaît pas.
Concernant la vérité, c'est pourtant ce qui importe au 1er chef : l'atteinte à la vie privée, la dissimulation de la qualité de journaliste-enquêteur oui cela est évident depuis le départ. C'était le principe même de l'émission.

Ce que le public attend - moi en tout cas - de la justice, c'est de savoir si cette émission est un faux, si les paroles (scandaleuses) entendues sont vraies ou si tout a été produit en studio avec des acteurs complaisants et ou par "montage" en laboratoire faisant prononcer des paroles qui ne l'ont jamais été en réalité (bande son trafiquée etc.). Vrai ou faux : la manière dont les choses sont tournées dans cet article semble confuse et ne pas clairement porter sur ce point central du "vrai" ou "faux".

Soutenir le Forum Catholique dans son entretien, c'est possible. Soit à l'aide d'un virement mensuel soit par le biais d'un soutien ponctuel. Rendez-vous sur la page dédiée en cliquant ici. D'avance, merci !