Vous le saviez peut-être, mais moi pas, j'étais victime de la légende dénoncée par l'auteur.
Dès la période pré-avignonnaise, au témoignage de Guillaume Durand (1286) :
Sappiamo invece sin dai primi cerimoniali del periodo pre-avignonese che il Papa vestiva in bianco e in rosso (le pape s'habillait en blanc et rouge/pourpre). Ne parla per primo diffusamente, spiegando anche il valore simbolico delle vesti papali, il domenicano Guglielmo Durando nel suo Rationale divinorum officiorum (1286):

“Hinc est quod summus pontifex cappa rubea exterius semper apparet indutus, cum interius sit indutus candida veste (il est toujours vêtu d'une cappe rouge extérieurement, alors qu'en dessous -interius - il est vêtu d'un habit blanc: quia etiam interius candere debet per innocentiam, et charitatem et exterius rubere per compassionem, ut videlicet ostendat se semper paratam ponere animam pro ovibus suis, quia personam gerit illius, qui pro nobis universis rubrum fecit indumentum suum.” (Liber III, Cap. XIX, n.18).

E ancora : “Tertio imponit albam talarem (une soutane blanche), ut habeat munditiam carnis perseverantem.” (Liber III, Cap. I, n.3).

Et cela est répété par les cérémoniaux suivants :
Quanto affermato dal Durando, sarà ribadito in tutti i successivi cerimoniali (ad esempio quello Patrizi Piccolomini della fine del ’400). I complessi abiti papali prevedevano comunque l’uso di talare bianca, rocchetto bianco e cappa (poi divenuta mozzetta con cappuccio) purpurea (soutane blanche, rochet blanc et cappe (devenue ensuite mozette avec capuche) pourpre).

http://www.conciliovaticanosecondo.it/2013/04/05/la-veste-bianca-papale-non-e-uninvenzione-di-san-pio-v/

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