Ces spécificités liturgiques sont-elles le symbole de l'autorité conférée à l'évêque par l'Eglise, ou alors s'appliquent-elles à tous ceux qui ont reçu la plénitude du sacerdoce ?
Dans le premier cas, cela expliquerait cette "bizarrerie" liturgique. Je sais par exemple qu'un évêque de la frat' ne confirmera jamais deux années de suite dans la même chapelle, pour ne pas laisser croire qu'il se serait donné une autorité sur un territoire précis.
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