...et les écuries d'Augias :http://www.corrispondenzaromana.it/crisi-di-fede-ci-vuole-una-reazione/

extraits (traduction automatique, assez claire) :

Crise de la foi, nous avons besoin d'une réaction

La théorie dominante est que Benoît XVI a "capitulé" en face d'une curie corrompue et ingouvernable, mais ce qui se meut, c'est que la morbidité sexuelle, la criminalité et les intrigues font partie de la nature même de l'Église romaine.

Cela devrait retirer tous les supports illusions offensives à ceux qui croient encore à la possibilité de concilier l'église avec les «pouvoirs en place» ["pouvoirs forts"] laïques d'aujourd'hui qui tentent de l'écraser. réaction catholique doit être viril et combatif et à partir de l'admission de l'existence d'une crise de la foi que la décadence indéniable des milieux ecclésiastiques moral est à la fois cause et conséquence. L'expression la plus récente de la crise doctrinale est le consentement donné par la Conférence épiscopale allemande à la soi-disant "pilule du lendemain", dans des cas extrêmes comme le viol.

Cette déclaration semble être la revanche symbolique de l'épiscopat du centre de l'Europe sur Humanae Vitae du 25 Juillet 1968.

Aujourd'hui, les évêques allemands relèvent à nouveau en fanfare un drapeau jamais abaissé.

On peut ajouter que si le successeur de Benoît XVI mettra en œuvre un programme "Ratzinger" , qui va de la défense des principes non-négociables à la mise en oeuvre du motu proprio Summorum Pontificum, aura à voir avec la force physique et morale, ou à celle de l'énergie, dont Benoît XVI le 11 Février 2013, s'est publiquement avoué inapte. Mais comment penser que la réalisation de ce programme ne conduit pas à des attaques encore plus violentes contre l'église par le lobby laïque?

Ensuite, si le nouvel élu renverse la ligne de gouvernement Ratzinger, pour s'aventurer dans les sables mouvants de l'hétérodoxie , dans l'illusion d'apprivoiser le monde, comment imaginer que cela ne provoque pas de réaction des défenseurs de la Tradition? Les mots persécution, schisme et hérésie ont accompagné les deux mille ans de l'histoire ecclésiastique. Si quelqu'un ne veut pas en entendre parler aujourd'hui, c'est parce qu'il a renoncé à la lutte. Mais, malheureusement, la guerre est en cours.
Roberto de Mattei

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