Une telle question mélange bien des domaines pour produire quel résultat, que veut on en distillant une telle interrogation, conclure que l'Eglise n'est pas conduite par l'Esprit-Saint?
Je conviens parfaitement que les repentances posées interpellent, mais de là à permettre par un petit tour de rhétorique de démontrer que Vatican II peut être une erreur, il y a une marge!
Une fois cette remarque posée, il faut noter que le Bx. Jean-Paul II lors du grand jubilé invitait à une "purification de la mémoire", pour qu'en " cette année de miséricorde, l'Eglise, forte de la sainteté qu'elle reçoit de son Seigneur, s'agenouille devant Dieu et implore le pardon des péchés passés et présents de ses fils". Ainsi nous pouvons conclure que l'Eglise en tant que mère peut reconnaître et déplorer les fautes "historiques" de ses enfants dans le mise en oeuvre de la vérité, ce qui ne signifie pas qu'elle se reconnaisse faillible dans son magistère de vérité ou nie sa sainteté.
C'est dans ce sens que je pense qu'il faille lire ces actes, sinon...
Enfin, la séparation entre le texte du concile et sa (non)-réception doit également être une fois encore rappelé!
Veni Creator
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