pourrait être dédramatisée d'au moins deux façons :
- une maximaliste (tant qu'à réformer, allons-y !) : l'adjectif garde sa forme "masculine" et il devient invariable en genre, voire en nombre comme en grammaire anglaise ; il faudra bien 100 ans pour s'y habituer.
- une plus raisonnable : on cesse de parler de la forme "masculine" et de la forme "féminine", et on enseigne, comme le font il me semble quelques grammairiens mais pas les auteurs des programmes scolaires, qu'il existe une forme indifférenciée (la masculine actuelle) couvrant toutes les situations sauf celles où il n'y a que des féminins à accorder : une forme "extraordinaire" réservée au genre féminin, et une forme "ordinaire" pour tous les autres cas de figure.
Ainsi, plus de hiérarchie à la noix, pour être correct !
Sans compter tout ce que pourront inventer les professionnels de la profession de professeur.
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