un prélat se doit de mener ses ouailles au Paradis et de leur éviter l'Enfer. Enfin, normalement.
Avec la nouvelle norme du printemps conciliaire en matière sociale, financière et patrimoniale, c'est l'inverse:
il est condamnable de vouloir sortir de l'Enfer ou du moins de ne pas approvisionner les sbires du Malin.
Il est vrai qu'il s'agit de son argent et de son utilisation morale au service du bien commun.
Cette vision paradisiaque n'a rien à voir avec l'Etat laiciste et intrinsèquement socialiste si cher à la CEF.
Walter Ulbricht était un amateur à côté de la CEF: avec elle pas besoin de Mur bétonné avec Vopos et champs de mine.
Il suffit d'agir sur le mental et la morale des gens lobotomisés.
Viendrait-il à l'esprit de ces prélats de transformer l'Enfer patrimonial dans lequel nous survivons, en Paradis?
Liberté, Propriété, Responsabilité.
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