La mosquée de Pontoise et son islam « ouvert »…

Sur son site, L’Observatoire de l’islamisation,(http://www.islamisation.fr/) dont la vigilance ne se relâche pas, donne cette inquiétante information : « Le Livre du Jihad enseigné à la mosquée de Pontoise. » Il s’agit, en fait, d’un chapitre (pages 466 à 485) du livre Boulough Al-Mâram étudié et enseigné tous les mardis dans cette mosquée – pardon : dans ce lieu culturel et cultuel… – du Val-d’Oise.

L’Observatoire de l’islamisation rappelle que, lors de son inauguration en mai 2004, la mosquée Masjid fut saluée, louangée, adoubée, par les autorités républicaines, religieuses, associatives, morales et patin, couffin… Comme dans une chanson de Brassens (mais pas pour voir Margot donner la gougoutte à son chat), tous les gars, tous les gars du village dhimmi étaient là, là, là, là : les représentants de la communauté musulmane, le curé de Pontoise (et qui sait, son bedeau…), le pasteur d’Osny, le député-maire du coin, l’imam de la mosquée, le sous-préfet de l’Oise, le président de l’association Avicenne, etc.

Les journaux de l’époque saluèrent ce « grand événement francilien » en signalant, notamment, que le sous-préfet, Daniel Wojciechowski, et le député-maire UMP (what else ?), Philippe Houillon, avaient salué « l’esprit d’ouverture et solidarité des responsables du lieu ».
Et huit ans après ce grand raout dhimmitesque ? Reportons-nous à L’Observatoire de l’islamisation : « Le paysage a été bouleversé (…) : des centaines d’individus portent des djellabahs et arborent une longue barbe pour ne pas ressembler aux koufars (mécréants), les femmes allant à la mosquée sont évidemment toutes voilées. L’école coranique enseignant l’arabe et la charia aux enfants et aux adultes est pleine. »

Pour quel enseignement ? Le mardi, par exemple, ce n’est pas raviolis, mais charia. Avec l’étude du livre Boulough Al-Mâram (« La Réalisation du but »), écrit par Ibn Hajar Al-Asqualini (1372-1448), plus connu sous le nom de Ibn Hajar pour les intimes.


Voilà ce qu’en dit L’Observatoire de l’islamisation : « L’ouvrage, une référence intemporelle, est disponible dans toutes les librairies musulmanes de Paris. Il est édité depuis 1999 en langue française par la maison d’édition Dar Ous Salam, basée en Arabie Saoudite, qui a pour principaux centres de diffusion le Pakistan et le Royaume-Uni. On ne sera pas étonné que le Bureau de prédication islamique de Ryad, organe de prosélytisme du ministère des Affaires islamiques de l’Arabie Saoudite, disposant de moyens financiers colossaux, félicite la mosquée de Pontoise pour ses enseignements sur son site francophone islamhouse.com : Voici le programme de cours de la belle mosquée de Cergy-Pontoise qui vous donne rendez-vous toutes les semaines de l’année, sauf contre-indications. Sachez qu’une salle pour nos sœurs est disponible. Qu’Allah récompense les responsables de cette mosquée et préserve tous ceux qui s’appliquent à propager l’islam. »

Le chapitre Livre du Jihad est sans équivoque : « propagation », « attaque », « faire triompher l’islam », « conquête », « expédition ». Les femmes razziées au cours d’opération guerrières peuvent être violées (même si elles sont mariées) et réduites à l’esclavage. Précision de L’Observatoire de l’islamisation : « Mahomet y est décrit installant des catapultes pour prendre d’assaut la ville de Tâ’if, Ibn Hajar expliquant que femmes et enfants peuvent être légalement tués dans ce type de conquête provoquant des victimes collatérales inévitables. »

On attend de savoir ce que Philippe Houillon (le H de son nom semble indu et pourrait être remplacé par la troisième lettre de l’alphabet) pense de cet islam qu’il saluait en 2004 comme un islam « ouvert » (sic)…
ALAIN SANDERS

Article extrait du n° 7474 de Présent
du Mardi 15 novembre 2011

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