l'on reste un petit peu sur sa faim:

Sans avoir besoin de source valable, cet article affirme une vérité connue et indiscutable: le capital génétique de chaque cellule est porteuse d'une identité sexuelle i.e. une paire de chromosome XX ou XY selon les cas. Les cas, globalement rarissimes, qui échappent à cette loi naturelle n'y change rien et sont clairement classés comme des maladies (syndrome de Turner, testicule féminisant etc...): il existe donc bien une identité sexuelle biologique qui détermine secondairement, dès la vie intra utero, le développement des "caractères sexuels visibles". La détermination sexuelle s'effectue bien dès la conception: rencontre d'un ovocyte avec la moitié du patrimoine génétique dont un chromosome X et un gamète mâle apportant l'autre moitié de l'ADN dont un chromosome X ou Y.

La deuxième partie de l'article mérite, elle, des sources et des chiffres: en effet, même si je rejoins ce qui est dit (dysmorphophobie et autres phénomènes psycho pathologiques), en se faisant "l'avocat du diable" (c'est bien l'expression idoine) on pourrait s'entendre dire que les troubles psychologiques ne sont pas une causes des demandes de changement de sexe, mais une conséquence de ce "mal-être" lié à la discordance entre une identité sexuelle apparente et celle fantasmée. Ainsi, seuls des chiffres et des données objectives pourraient permettre de mettre à bas ce qui n'est que de l'idéologie.

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