Il y a bien 2 poids et 2 mesures:
Les antidépresseurs, quelque soit le bénéfice que vous leur accordez, sont bien prescrits dans une volonté thérapeutique, c'est à dire dans le but de soigner, voire de participer à la guérison d'une maladie.
Les oestro-progestatifs, sont utilisés dans une écrasante majorité des cas, en dehors d'une volonté de soins puisque l'on est dans une optique de contraception; le fait de concevoir n'est pas (encore??) une maladie dans notre société. On est donc en dehors d'un schéma thérapeutique;
L'interrogation est donc qu'il est possible de rendre malade une population qui n'a pas choisi d'absorber une substance, alors que cette même substance pourrait être responsable de maladie et qu'elle est prescrite sans volonté de guérir ou de soigner.
Quant aux études que vous citez, je n'en ai pas eu vent (ce qui ne veut rien dire en tant que tel), cela étant sont-elles transposables à la situation française? sont-elles scientifiquement recevables?
La situation dans les rivières en terme de changement de sex ratio dans les populations de poissons ne serait elle pas la "contre preuve" d'une conclusion aussi tranchée?
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