Hélas: tous les prêtres américains ayant fait leur séminaire dans les années 1970-1980 (et même aujourd'hui) qui m'en ont parlé m'ont donné des témoignages quasiment identiques, y compris à Mount St. Mary's du Maryland qui pourtant jouit de la meilleure réputation ici. Et c'est presque toujours lié à la présence, tant parmi les profs que parmi les séminaristes, d'une forte proportion d'homosexuels (un livre, Good Bye Good Men publié voilà quelques années, en faisait le détail). Effectivement, un homme normal aura tôt fait de fuir un tel environnement, laissant derrière lui une proportion homosexuelle toujours croissante. Le prof de théologie qui s'adresse aux séminaristes comme "girls" à Maynooth, par exemple, est répandu; le pronom féminin "she" ('elle') est également très commun quand on veut se plaindre d'un autre ("She refused me, the bitch," par ex.). Ceux qui refusent de se soumettre à l'hétérodoxie ou aux avances amoureuses des profs encourent de mauvaises notes ou même l'expulsion.
Ça paraît impensable et pourtant les témoignages se recoupent presque à chaque fois. D'ailleurs lors de la visitation des séminaires américains il y a vers 5-6 ans, l'une des questions était de savoir s'il y avait une forte culture homosexuelle au séminaire...
-Eucher
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