Bonjour jejomau,

Saisi par le doute, après avoir lu votre message, je viens de relire le mien.

Je n'ai procédé à aucune analyse, et je me suis contenté de rappeler deux souvenirs.

Cela étant, j'ai profité de votre message pour lire le texte d'Isabelle de Gaulmyn.

J'avoue ne pas très bien comprendre la pertinence de la distinction entre la droite et la gauche, pour identifier puis analyser les origines de la situation actuelle.

Je me contente de poser les questions suivantes.

1. Suffit-il donc que des théologiens, des évêques, un pape reprennent à leur compte un "inclusivisme périphériste"

- dont il n'a jamais été question, sous Jean XXIII, Paul VI, Jean-Paul II, Benoît XVI, dans les domaines de la foi et des moeurs,

et

- qui n'a certes pas attendu l'élection du pape François pour commencer à sévir, en contradiction avec des encycliques récentes,

pour que cet "inclusivisme périphériste" devienne légitime en plénitude, au sein de l'Eglise catholique ?

2. Suffit-il donc que des théologiens, des évêques, un pape décident et décrètent qu'un mode de raisonnement est officiellement "évangélique", alors que ce mode de raisonnement n'a jamais été considéré comme "évangélique" par les prédécesseurs, notamment les plus récents, de ce pape, pour que ce mode de raisonnement devienne effectivement "évangélique" ?

Je vous remercie pour toute amélioration de la formulation de ces deux questions, et je vous souhaite une bonne journée.

Scrutator.

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