on a découvert en 1985 le gène SRY qui est déterminant dans le développement de l'appareil génital. La détermination sexuelle suit donc bel et bien le programme génétique, MAIS "les hommes XX ont un chromosome X possédant le gène SRY. Les femmes XY possèdent également un gène SRY, mais non fonctionnel" (wikipedia)
Quoiqu'il en soit, le sexe gonadique (déterminé par le gène SRY donc, mais probablement par d'autres facteurs génétiques non complètement étudiés à ce jour) détermine à son tour le genre : les hormones qu'on sait avoir le plus d'effet sur la différenciation du genre (barbe, seins, etc) sont sécrétées par les gonades - testostérone par les testicules, oestrogène et progestérone par les ovaires.
Donc le coup de l'apparence physique différente du genre... je veux bien admettre de très très rares exceptions (exposition massive à des hormones contraires pendant la grossesse par exemple). Mais pour la majorité des cas il s'agit surtout d'un facteur psychologique. Jusqu'en 2012, le transsexualisme était classé parmi les maladies mentales comme trouble de l'identité sexuelle.
Partant, les remarques de Rémi sont valables pour 99,9 % des transsexuels.
Et en tout cas, les transsexuels "militants" ne ressortent quasiment jamais de ces rares exceptions dont je parlais.
Cordialement
Meneau
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