Le générique est une miette. Je parle de plus profond

Le Forum Catholique

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Glycéra -  2020-05-23 10:27:23

Le générique est une miette. Je parle de plus profond



Une miette, oui.
Car ce n'est pas du tout le fond des soins.

Le générique est une suite logique : trouver le même (vraiment le même ?? doutons) moins cher. Tant pis si c'est moins contrôlable, si c'est plus difficile à faire livrer, etc.


Je parle de

1 - refuser que les maladies soient traitées comme des occasions de marché de profits faciles. En cas de besoin, les gens paient, comme au marché noir il y a 80 ans..

2 - colérer qu'on attende d'être malade pour prendre soin du corps que Dieu nous a donné, ce véhicule de l'âme, moins aimé parfois que sa sainte bagnole.

3 - soutenir que la prévention est essentielle, elle est l'essence de ce qui est à faire : cela commence par la connaissance de soi. Chacun est différent, chacun peut comprendre ce qui lui est bénéfique et ce qui ne l'est pas.

4 - libérer les médecin du carcan des molécules chimiques et des chiffres d'analyse des labos. Les chaussures, c'est reposant pour les pieds, les béquilles, c'est utile pour qui ne peut marcher solidement seul. Mais imposer des béquilles à tout promeneur, c'est ... ? tyrannie arbitraire.

5 - Enseigner aux médecins et aux consultants que la liberté est fondamentale, liberté de se soigner, et liberté de prescrire. Leur donner des cours de préventions réelles, avec les moyens naturels, et l'alimentation en fait partie. L'emploi des plan tes, avec leur totum, sans les fractionner en molécules parce que l'une d'elle a été isolée, alors qu'on sait que seule, elle n'a pas les mêmes résultats que la plante entière. Pharmacie du Bon Dieu ! Cela passe par une réforme complète des cours donnés aux médecins. Combien sont réellement capables d'être médecins des familles ? Avec la variété des gens rencontrés, et la finesse des relations humaines ?

6 - supprimer l'obligation "Sécu nationale" : la laisser libre à qui veut cotiser. La santé est un besoin fondamental, mais elle se responsabilise, se travaille et se prépare, en soi-même. On a supprimé les paiements à la caisse ... Qui sait ce que coûte à la société son sachet de médocs "à vie" ? Quand les gens sauront le coût réel, les consciences viendront, car le porte-monnaie est un bon apôtre de bon sens.


C'est en passant par l'A P M (adéquation de prescription médicale) qu'on peut faire comprendre le premier barreau de cette échelle à re-parcourir : en commençant par les médecins. Vers une vraie place de la santé. Salus en latin, qui veut aussi dire salut, le seul qui compte.


Voyez que j'étais loin de cibler l'anomalie financière des génériques. Miette sur la meule !

Glycéra


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