À l’approche de la saison des pèlerinages qui s’ouvre le 5 avril, « nous avons monté il y a une dizaine de jours une cellule de veille qui se réunit quotidiennement », explique à l’AFP le recteur du sanctuaire, Mgr Olivier Ribadeau Dumas. « Il a été assez vite décidé la fermeture des piscines parce qu’elles sont un lieu de promiscuité où les hospitaliers baignent les pèlerins », précise-t-il.
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