Il y a bien un grand mystère …Mais à savoir s’il était vraiment désiré par l’Esprit Saint ?

Le Forum Catholique

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Minger -  2015-08-31 16:29:47

Il y a bien un grand mystère …Mais à savoir s’il était vraiment désiré par l’Esprit Saint ?

Vianney: http://www.atlantico.fr/decryptage/jean-paul-ier-preuves-que-pape-bel-et-bien-ete-assassine-david-yallop-757147.htmlJean-Paul Ier fut-il victime ou complice ? Sans doute ne le saurons-nous jamais en ce monde. Mais à partir du moment où ce texte fut prononcé par lui, nous pouvions être sûrs qu’il n’était pas ignorant de ce qui se tramait dans les hautes sphères de l’Église…

Effectivement ,pourquoi Benoît XVI demande cette béatification? Lui qui est sans doute le mieux placé pour savoir...

Toutefois , il y a eu des anomalies plus que étranges…


Extrait: Sur l’insistance du Vatican on ne retira pas une goutte de sang au cadavre, on n’ôta aucun organe. On effectua les injections de formol et autres conservateurs chimiques dans le corps par les veines et artères fémorales. La raison de la durée de trois heures pour le processus tient à ce que, contrairement à l’usage habituel où l’on retire du sang, ou qu’on le mêle à une solution saline qu’on fait circuler dans tout le corps, le Vatican tenait absolument à ce qu’on ne retire pas une seule goutte de sang.

Une faible quantité de ce liquide aurait amplement suffi, évidemment, pour qu’un médecin légiste établisse la présence de substances toxiques, quelles qu’elles soient. Le traitement cosmétique infligé au corps élimina l’expression d’angoisse sur le visage.
Les mains qui s’étaient serrées sur les feuilles de papier aujourd’hui manquantes furent disposées sur un rosaire. Le cardinal Villot se retira enfin pour se coucher un peu avant minuit. Le pape Paul VI, en accord avec la loi italienne, n’avait pas été embaumé avant que le délai de 24 heures après le décès ne se fût écoulé. Bien qu’il y ait eu des accusations concernant une incompétence médicale après la mort de Paul, on n’entendit jamais parler de malveillance. Là, alors que non seulement l’opinion publique mais des stations de radio et de télévision, ainsi que la presse écrite demandaient une autopsie, on embauma le corps de Luciani environ douze heures après sa découverte.
Le samedi 30 septembre on posait avec une urgence croissante la question précise: «Pourquoi refuser une autopsie?» Les media commençaient à rechercher une explication de cette mort soudaine que rien ne laissait prévoir.
La Curie avait rappelé très vite aux journalistes qui s’intéressaient à la question une remarque impromptue faite par Luciani lors de son audience générale le mercredi 27 septembre. Se tournant vers un groupe de malades et de handicapés dans la Salle Nervi, Luciani avait dit: "Rappelez-vous que votre pape a été huit fois à l’hôpital et a subi quatre opérations." L’Office de Presse du Vatican commença à répondre aux demandes de détails sur la mort de Luciani en répétant la phrase du défunt. Ils s’en servirent avec un tel excès qu’on eût dit une sorte de répondeur automatique, avec le manque de satisfaction corrélatif des correspondants.

Les divers media rappelèrent que Luciani n’avait pas semblé être en mauvaise santé durant son bref pontificat. Au contraire, firent-ils observer, il donnait une image de santé, pleine de pleine de vie et d’enthousiasme. D’autres, qui connaissaient Luciani depuis bien plus long temps, commencèrent à recevoir des appels pour qu’ils donnent leur avis. Quand Monseigneur Senigaglia, secrétaire de Luciani à Venise pendant plus de six ans, révéla que le défunt pape avait subi récemment un check-up complet avant de quitter Venise pour le conclave et que ces examens médicaux s’étaient révélés "favorables à tous égards" les demandes d’autopsie se firent plus fortes. Lorsqu’un certain nombre de médecins experts commencèrent à exprimer catégoriquement la nécessité d’une autopsie afin de déterminer la cause réelle de la mort, la panique au Vatican atteignit de nouveaux sommets.
Il était clair que si les médecins étaient prêts à avancer diverses raisons qui auraient pu être des facteurs y contribuant (le stress soudain causé par le fait de devenir pape faisait partie des favoris), aucun n’était disposé à accepter sans autopsie l’affirmation du Vatican selon laquelle Albino Luciani était décédé d’un infarctus du myocarde.

Minger : Il y a aussi la version selon laquelle, le Pape Jean Paul 1er n’a pas été désiré par l'Esprit Saint?
Mais son successeur Jean-Paul II , le pape qui a changé l'Histoire de l’EST et tous ses continents opposés…

Le signe de son attentat démontre qu’il avait été protégé par la vierge de Fatima… Et pour finir par son expiation , dont nous ignorons les motifs , pour s’en aller le jour de la miséricorde…

Extrait : Le lendemain, vendredi 1er avril, à 6 h du matin, messe, avec l'étole et la croix pectorale: Jean-Paul II était "conscient et serein". Vers 7 h 15, méditation du Chemin de Croix: il faisait le signe de la croix à chaque station. Puis prière de l'office de Tierce.
Mais le cadre clinique s'aggravait, avec une triple insuffisance, cardiaque, respiratoire et rénale. Une prière continuelle entourait le pape qui s'en allait et dont personne ne voulait qu'il s'en aille.
Le samedi 2 avril, à 7 h 30, messe dans la chambre, mais le malade pour la première fois est parfois "absent". La fièvre reprit en fin de matinée. Vers 15 h 30, avec difficulté, il demanda, en polonais qu'on le "laisse s'en aller vers le Seigneur".
Il glissa dans le coma vers 19 h. Et c'est à 20 h que commença la messe de la fête de la Miséricorde divine, accompagnée de chants en polonais. Place Saint-Pierre, la foule en prière accompagnait son départ. Jean-Paul II remit son âme à Dieu à 21 h 37. Auprès de lui, son cercle rapproché entonna le Te Deum. Et la lumière à la fenêtre annonça que sa mission était accomplie. Qu'il était dans la lumière de Dieu.

Moi je reste sur ces signes …Toutefois certain de rien !
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