L’importance disproportionnée qui est donnée par l’article de Sud-Ouest à la messe selon la forme extraordinaire, puisque le pape Benoît XVI en a libéré l’usage, m’apparaît comme un point de fixation qui prétend avaliser la thèse de mes « penchants intégristes », adjectif qui, dans le contexte actuel, pourrait être assimilé à de la diffamation. Je rappelle seulement que sur 17 messes proposées aux fidèles chaque week-end sur la ville de Bayonne, 16 sont célébrées selon la forme ordinaire (dont 15 en français et 1 en basque), et 1 en latin selon la forme extraordinaire. Il faut donc raison garder. De même sur toute l’agglomération paloise, une seule messe par week-end est célébrée selon la forme extraordinaire.