statues, représentations réalistes etc... par souci affiché de ne pas risquer l'idolâtrie ; et aussi pour limiter les distractions inopportunes pendant la prière.
Attitude aussi louable que de garnir les lieux de prière de sulpiceries, décors baroques (que j'aime) rocailles et autres "ornements".
Cela étant, ne peut-on voir dans cette volonté de simplicité, parût-elle exagérée, systématique, qui se retrouve dans l'Eglise catholique depuis 50 à 60 ans, une parenté avec le dépouillement cistercien ? Ne taxons pas a priori de philoprotestantisme les "croix nues" de nos églises du XX° et XXI° siècle, quand nous approuvons et aimons la nudité des lieux cisterciens.
Bien entendu cela reste une question d'intention chez les clercs qui décident en la matière simplicité, oui, allégeance aux formes protestantes, non.