C'est en vacances (chez mes parents où je séjourne le plus clair de mes vacances) que je fais le moins de kilomètres pour sanctifier mon dimanche par une messe extraordinaire (je parle du rite, bien entendu). Et j'ai encore réduit ces kilomètres (plus qu'une vingtaine... une bagatelle...) depuis l'application du motu proprio. Bien sûr, l'horaire n'est pas terrible (11 heures 30), nous déjeunons à point d'heures et profitons d'une moitié d'après-midi, mais ON S'EN FOUT !

Bon d'accord, pour les séjours dans ma belle-famille , c'est plus compliqué : le NOM n'y est pas toujours scandaleux, mais il m'agace profondément (particulièrement ce prêtre qui accélère systématiquement son débit de parole au moment de la consécration, ou celui-là qui s'approche de l'autel en s'arrêtant pour serrer les mains des fidèles qu'il n'avait pas eu le temps de saluer avant la messe !). Je ferais bien les 50 kilomètres pour rejoindre la VOM la plus proche, mais il va me falloir douceur et diplomatie... C'est pas gagné, comme dirait mon mari !