La Commission Pontificale Ecclesia Dei bénéficiait d'un pouvoir général d'autoriser la célébration selon le VOM, après consultation de l'ordinaire du lieu pour info et souhaitable concertation, mais non pas sous réserve de son avis favorable:
« … Concedendi omnibus id petentibus usum Missalis Romani secundum editionem typica vim habentem anno 1962, et quidem iuxta normas iam a commissione Cardinalitia “ad hoc ipsum instituta” mense Decembri anno 1986 propositas, praemonito Episcope diocesano. » (N.d.Traducteur:sous préavis ne veut pas dire sous avis favorable)
Sur quelle base juridique s'est-elle considérée comme privée du pouvoir décrit ci-dessus d'outrepasser la mauvaise volonté de l'évêque diocésain? Uniquement des pressions verbales, ce qui serait mon hypothèse, (compte tenu de la prudence et de l'hypocrisie ecclésiastiques, hautement probables en ce domaine) et de qui ces pressions? Ou bien un document de la Secrétairie d'Etat sur les conséquences pratiques de la fameuse "collégialité"?
Des Noms! des Noms svp!