A propos de la parabole du bon grain et de l'ivraie :
Dans ce champ, qui représente aussi bien le monde que moi-même,
il y pousse à la fois des germes de bonheur et de malheur...
Je ne suis ni le semeur, ni le moissonneur...
Il me revient de recevoir la semence du Père,
et de veiller à ce qu'elle croisse,
sachant que le malin (l'ennemi) a aussi semé son poison.
Je ne peux passer derrière lui pour extirper chaque mauvaise graine
Ce n'est pas ce qui m'est demandé..
Le Seigneur Jésus m'invite, moi et d'autres avec lui,
à favoriser la croissance de la bonne graine.
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