...relatifs aux conseils épiscopaux, mais celui-ci (relatif aux associations publiques de fidèles, qui (par définition) agissent au nom de l'Eglise) devrait évidemment s'appliquer par analogie :

Can. 316 – § 1. Quiconque a publiquement rejeté la foi catholique ou s’est séparé de la communion de l’Église, ou est sous le coup d’une excommunication infligée ou déclarée, ne peut validement être admis dans les associations publiques.
§ 2. Les personnes qui, légitimement inscrites, tomberaient dans un cas du § 1, seront, après monition, renvoyées de l’association, en respectant les statuts et restant sauf le droit de recours à l’autorité ecclésiastique dont il s’agit au can. 312, § 1.

Commentaire du Code annoté : « Ce canon reprend le contenu des c. 693 § 1 et 696 § 1 et 2 du Code de 1917, qui déclaraient également nulle l’inscription et prescrivaient le renvoi de ceux qui appartiendraient à des sectes condamnées ou qui seraient, de façon générale, des pécheurs publics. »
cf. c. 1374 et son comm. ; « On peut en dire autant de l’affiliation à un parti communiste déterminé. »