Mais les guillemets peuvent aussi exprimer l'ironie...

En relisant mon dernier message je réalise qu'il laisse accroire que l'ecclésiavacantisme de l'abbé Zins l'exempterait de l'illogisme que constitue le refus d'une telle élection. Je ne le pense pas. Même si l'Eglise devait se résumer à une poignée de laïcs ceux-ci jouiraient du droit, voire du devoir, inné et inaliénable de se donner un chef dans les plus brefs délais.

J'ai d'ailleurs noté que "notre cher vieil ami" n'aime pas être titillé sur ce point. Si je me souviens bien, sa réponse ultime à ma démonstration était : "A l'impossible nul n'est tenu" ou bien il laissait entendre que ce serait Henoch et Eli qui procéderaient à la future élection...